IED - Trouble Intermittant explosifs et gestion de la colère

Peut-être l'aspect le plus problématique dans le domaine de gestion de la colère est un trouble psychologique grave appelée trouble explosif intermittent (IED).

Il s'agit d'un trouble relativement rare du cerveau caractérisée par des accès explosifs de comportements tels que jeter ou casser des choses et d'infliger des dommages physiques sur les autres avec peu ou pas de la provocation. Il s'agit d'un trouble du contrôle des impulsions qui est parfois lié à l'épilepsie du lobe temporal. Il a également été suggéré par des études pour être la cause sous-jacente de la rage au volant.

On estime que jusqu'à 7,3% des adultes, environ 11,5 à 16.000.000 Américains, souffrent de l'IED à un certain moment au cours de leur vie. Les pourcentages réels pourrait être plus élevé, comme IED tend à se chevaucher dans les individus souffrant de trouble bipolaire (personnes diagnostiquées avec le trouble bipolaire ont été exclus de l'essai).

Cette condition est considérée comme l'un des troubles les plus destructrices et dangereuses mentale. Caractérisé par des explosions violentes ou l'agressivité impulsive nettement hors de proportion avec l'événement déclencheur, l'IED peut être exacerbée par l'utilisation de l'alcool ou des drogues récréatives comme la méthamphétamine cristal.

Ce trouble mental a également été liée à des crimes tels que la violence domestique, violence envers les enfants, les agressions, les viols, assassiner, la rage au volant, et les vols violents. Il ne répond pas bien à des techniques habituelles de gestion de la colère.

IED est pensé pour commencer dans les années début de l'adolescence. Parce que son apparition survient à un âge précoce, il est proposé que ces symptômes doivent être testés présentant au premier signe d'un problème. Les victimes sont connus pour être à risque de développer une dépression et l'abus d'anxiété, de l'alcool et de drogues, le divorce et d'autres comportements dysfonctionnels.

Environ 70% des personnes avec l'IED ne peuvent solliciter ni recevoir aucun traitement en dehors des techniques classiques de gestion de la colère. Bien qu'ils soient efficaces dans une certaine mesure, ces techniques doivent être utilisés en conjonction avec des médicaments. Un traitement efficace est double et se compose de la thérapie cognitivo-comportementale et les régimes de médicaments psychotropes. Le premier aide le patient à reconnaître et à traiter avec des pulsions destructrices et celle-ci contribue à atténuer la perte de cellules et des anomalies dans l'hémisphère gauche du cerveau qui peut survenir chez les patients qui ont manifesté la violence gratuite associée à ce trouble....